Emplettes




commentaire : assez consternant. L'équivalent éditorial des documentaires “sexploitation” qu'on vit notamment aux États-Unis et en Allemagne, et qui sous couvert d'éduquer la jeunesse, la prévenir de certains des dangers qui la guettaient, en profitaient pour balancer des images impensables dans des films traditionnels.





Un nanar de 1981 pour amateurs de fessées, flagellations, bondage et autres joyeusetés. 



La trouvaille du jour. Un auteur d'origine suisse, romancier (prix Femina en 1958 pour La Machine humaine, essayiste (sur l'humanisme technique, sur le roman d'espionnage, sur Louis Pauwels...), traducteur (d'Eric Ambler) qui semble pour le moins atypique. Et la quatrième donne assez envie de lire cet À la mémoire d'un ange, même si le rédacteur spoile honteusement la fin. 


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Commentaires

  1. Le type en turban, de trois quart face, a l'air lui même exténué d'avoir à se produire encore, fouet à la main, et faire face à la paire de fesses de la blonde dont on pourrait penser, à sa pose, qu'elle "danse du salon et bout de ses talons" sur un vieux titre de cold wave dans les backrooms d'un Palace devenu foyer Sonacotra, l'érotisme façon Sacher Tochte Masoch n'étant décidément plus ce qu'il était (et d'ailleurs, a-t-il seulement été ?)

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