Des risques du métier d'éditeur




L’éditeur Léo Scheer n’en revient toujours pas. Ses locaux professionnels, au cinquième étage du 22, rue de l’Arcade à Paris (VIIIe), ont été visités dans la nuit de dimanche à lundi, révèle mardi «le Parisien» dans ses colonnes. Les voleurs, qui ont défoncé la porte, n’ont emporté, si l’on excepte deux carnets de tickets restaurant, qu’un seul objet : le manuscrit des « confessions » de l’animateur de télévision Jean-Luc Delarue.
Ils sont ensuite repartis par les toits.
« Le texte était écrit à la main et n’existait qu’en un seul exemplaire », précise l’éditeur qui, lorsqu’il a déposé plainte dans la journée d’hier, avouait avoir eu du mal à être pris au sérieux par les policiers.


leparisien.fr

Commentaires

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  3. Les indices que cette affaire laissent apparaître, pour le moment, semblent indiquer :

    1) Que les cambrioleurs avaient faim.
    2) Que l'un d'entre-eux, au moins, était un philologue doté d'une solide culture hellénique.

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  4. Imaginerait-on, cependant, un Jean-Luc Delarue, risquer la prison pour un manuscrit de Ferdinand de Saussure ?

    Imaginerait-on aussi que je puisse cesser de supprimer mes commentaires trop vite relus ? Désolé d'encombrer.

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